photo Chargé(e) d'affaires technico-commercial(e)

Chargé(e) d'affaires technico-commercial(e)

Emploi Enseignement - Formation

Coquelles, 62, Pas-de-Calais, Hauts-de-France

Parce que le succès commence par un « OUI » ! Afin de renforcer les équipes en place, nous recrutons H/F un chargé d'affaires qui envoie du bois ! Voilà ce qu'il vous attend dans le monde de la formation. PROSPECTER ! Votre terrain de chasse est vaste ! Vous identifiez des nouveaux clients de toutes tailles et de tous secteurs d'activités, prenez vos rendez-vous et en ressortez avec une bonne idée des besoins de chacun en termes de formation. VENDRE et NÉGOCIER ! Notre métier étant réglementé, vous devez présenter des prestations de formation adaptées à chaque entreprise, discuter des modalités de contrats (tarifs, conditions de vente, délais) et assurer un suivi sérieux de vos objectifs. Convaincre, c'est votre nature. Satisfaire, c'est votre signature. FIDÉLISER ! Entretenir la relation, c'est un travail de tous les jours en répondant aux questions de vos clients, en maintenant le lien et en proposant des formations sur de nouveaux métiers. Vous n'êtes pas toujours là pour vendre mais pour bâtir une relation durable. REPORTER ! C'est souvent casse-pied mais c'est nécessaire de suivre vos performances et de rendre compte de vos actions et résultats à votre manager.[...]

photo ARTISTE : MONKEY BIRD

ARTISTE : MONKEY BIRD

Animaux, Nature - Environnement

Boulogne-sur-Mer 62200

Du 27/08/2020 au 30/08/2020

Artistes français du 27 au 30 juillet. Derrière ce nom se cache un duo d’artistes français, Temor et Blow, créé à Bordeaux en 2012. Leurs œuvres transcrivent les thèmes sociaux en fables murales grâce à la représentation d’animaux totems : l’oiseau (Blow) et le singe (Temor). Le tandem joue avec les sémantiques de ces singes et oiseaux sacralisés pour traiter de l’humain. Entre ses obsessions matérielles et ses fantasmes de liberté, l’Homme doit trouver un juste équilibre afin de se construire en tant qu’animal social. Leur inspiration est principalement tirée d’œuvres sacrées ou lyriques (enluminures, vitraux, ornementation architecturale, estampes japonaises…). Monkey Bird aime varier les techniques en fonction de l’espace sélectionné : pochoirs, gravures, dessins, découpages, affiches en toile de verre… Leurs créations sont parsemées à travers les grandes villes européennes : Berlin, Amsterdam, Paris sans oublier le plus grand pochoir du monde (32 mètres de haut) visible à Grenoble.

photo PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

Festival généraliste, Danse - Bal - Cabaret

SALLAUMINES, 62430

Le 24/03/2022

Pode Ser illustre la difficulté d’être soi ; il est question de limites, d'aspirations mais aussi de désarroi. Peut-être le désarroi d'être au monde et de n'être que soi. Leïla Ka s’engage seule dans un dialogue brut, à travers différents langages chorégraphiques, à la recherche des identités multiples qui constituent la personne. Lorsqu’on regarde au loin, derrière soi, on prend la mesure de ce que l’on a traversé, de ce et ceux qui nous ont sculpté, des paroles qui nous ont construit, on compte ceux qui nous ont accompagnés et puis on s’étonne. On s’étonne de tout ce que l’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés et de ce qu’on aurait pu être, peut-être… Et lorsqu’on regarde là, juste devant soi, on compte tout ceux que l’on est aujourd’hui, on liste ceux qu’on devrait être ou rêveraient d’être encore, ainsi que tous les personnages dans lesquels on est disséminé. Et ça fait beaucoup. « Chibani plante les origines de ma présence sur scène, les défis que doivent relever les danseurs ou artistes qui s’engagent dans une voie incertaine parce que authentique mais fragile. Pour la première fois, je raconte l’envers du décor de mon cheminement artistique.» Aziz[...]

photo PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

PODE SER & CHIBANI - FESTIVAL LA BEAUTE DU GESTE

Manifestation culturelle

Sallaumines 62430

Le 24/03/2022

Pode Ser illustre la difficulté d’être soi ; il est question de limites, d'aspirations mais aussi de désarroi. Peut-être le désarroi d'être au monde et de n'être que soi. Leïla Ka s’engage seule dans un dialogue brut, à travers différents langages chorégraphiques, à la recherche des identités multiples qui constituent la personne. Lorsqu’on regarde au loin, derrière soi, on prend la mesure de ce que l’on a traversé, de ce et ceux qui nous ont sculpté, des paroles qui nous ont construit, on compte ceux qui nous ont accompagnés et puis on s’étonne. On s’étonne de tout ce que l’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés et de ce qu’on aurait pu être, peut-être… Et lorsqu’on regarde là, juste devant soi, on compte tout ceux que l’on est aujourd’hui, on liste ceux qu’on devrait être ou rêveraient d’être encore, ainsi que tous les personnages dans lesquels on est disséminé. Et ça fait beaucoup. « Chibani plante les origines de ma présence sur scène, les défis que doivent relever les danseurs ou artistes qui s’engagent dans une voie incertaine parce que authentique mais fragile. Pour la première fois, je raconte l’envers du décor de mon cheminement artistique.» Aziz[...]